Hier en Chine,
Sans que personne ne le devine,
Une maladie fait son apparition
Dans la plus grande discrétion.
Tout le monde commence à avoir mal,
Et le chaos est total.
Comme ce virus est invisible,
Pour lui on est myope,
Avec un avion, des combustibles,
Il s’installe en Europe.
Aujourd’hui, en France,
Nous sommes en confinement.
Ceux ne sont point des vacances,
C’est sûr, c’est évident.
Les réflexions de l’Etat,
On ne les connaît pas.
Soit on peut dormir sur ses deux oreilles,
Soit tout n’est pas joie ni merveille.
Tout ce qu’on sait de cette contagion,
C’est qu’il faut faire très attention.
Demain, on ne sait pas si tout sera rassurant,
Ou s’il fera un sale temps.
Mais la deuxième proposition,
L’empêcher de se réaliser est notre mission.
A cause du Corona, on ne peut plus sortir de chez soi,
A cause du virus, on ne peut plus prendre le bus,
A cause de cette maladie, on ne peut plus respirer la vie,
A cause de ce poison, entre nous il n’y a que des cloisons.
Tout ce que je dis dans ce poème,
Va peut être vous rendre blême,
Mais tous ces mots, toute cette ponctuation,
Ne sont que le fruit de mon imagination.
Viktor Teisserenc-Bonestève
10 ans